“Casablanca” : EYMTrio poursuit ses explorations nomades à travers son nouvel album disponible dès aujourd’hui !
Un an après l’album Bangalore avec la chanteuse indienne Varijashree Venugopal, EYMTrio poursuit ses explorations nomades avec “Casablanca”. Et pour ce cinquième album, EYM Trio se recentre sur une création à trois, comme une nécessité de retour aux sources après s’être nourrit de tant d’aventures et de collaborations !
Composé d’Elie Dufour au piano, Marc Michel à la batterie, et Yann Phayphet à la contrebasse, le EYM Trio s’amuse avec des éléments de langage de musiques venant des quatre coins du monde, le tout dans des métriques innovantes laissant place à une grande liberté d’interprétation. A eux trois, ils créent un univers captivant, amusant et surprenant qui invite avec légèreté au voyage et au lâcher prise.
EYM Trio a choisi Casablanca comme nom d’album car c’est dans cette ville que les trois musiciens ont rencontré le dessinateur Simon Lamouret qui illustre tout l’album.
Ce cinquième album Casablanca reflète l’état d’esprit nomade du EYM trio et nous embarque dans un jazz mélodique qui se joue des frontières. Il se veut dans la continuité du projet Nomad’ Sessions initié en 2019.
Elie Dufour écrit au piano la musique spécialement pour le groupe, sans directives précises. Elle est faite pour être remodelée en permanence en toute confiance par la sensibilité de chacun. On y retrouve certaines influences qui lui sont chères : les musiques bulgares, tziganes et orientales au sens large…
Cet album est l’occasion de dévoiler en avant première une innovation pianistique. Elie Dufour a profité du confinement avec Robert Kieffer, pour créer une pédale mécanique, acoustique, ayant pour but de muter la partie centrale du piano et ainsi de pouvoir avoir accès à des modes de jeu inédits. Elle est omniprésente sur l’album Casablanca, donnant au piano la capacité de sonner comme un nouvel instrument, proche du oud et des instruments à cordes pincées.
Considérons cet album comme un voyage sonore accompagné avec justesse par le dessin, laissant place à un rêve de concert dessiné.
[Source : communiqué de presse]
Articles liés
“Moins que rien” : l’histoire de Johann Christian Woyzeck adaptée au Théâtre 14
L’histoire est inspirée de l’affaire de Johann Christian Woyzeck (1780-1824) à Leipzig, ancien soldat, accusé d’avoir poignardé par jalousie sa maîtresse, Johanna Christiane Woost, le 21 juin 1821. Condamné à mort, il a été exécuté le 27 août 1824....
La Scala présente “Les Parallèles”
Un soir, dans une ville sans nom, Elle et Lui se croisent sur le pas d’une porte. Elle est piquante et sexy. Lui est hypersensible et timide. Il se pourrait bien que ce soit une rencontre… Mais rien n’est moins sûr, tant ces deux-là sont maladroits dans leurs...
“Tant pis c’est moi” à La Scala
Une vie dessinée par un secret de famille Écrire un récit théâtral relatant l’histoire d’un homme, ce n’est pas seulement organiser les faits et anecdotes qu’il vous transmet en une dramaturgie efficace, c’est aussi faire remonter à la surface...